Les 9 phases de l’activité physique

Vers l’âge de 20 ans, je pesais plus de 190 livres du haut de mes 5 pieds et 8.5 pouces. À l’époque, je mangeais tout ce qui me tombait sous la main. J’avais même inventé une collation hyper-calorique à base de nouilles Ramen, de fromage et d’arachides. Souvenir de jeunesse:

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Mais mon poids n’a pas vraiment d’importance… Ce qui importe, c’est que je savais très bien que ça ne pouvait pas continuer comme ça et je me sentais mal dans ma peau. De plus, j’étais dans une condition physique absolument horrible et je m’enlignais vers des problèmes de santé multiples dans le futur.

Heureusement, peu après, j’ai dramatiquement changé mes habitudes et mon alimentation, puis l’activité physique est devenue une partie intégrante de ma vie. Aujourd’hui, je ne pourrais plus m’en passer.

Donc OUI je fais du sport, OUI je m’entraîne et OUI je suis raisonnablement en forme. Je pourrais vous dire que c’est facile ou naturel pour moi et que ça fait partie de ma routine… mais c’est faux.

 

C’est un combat au quotidien.

 

Au cours des dernières années, j’ai vécu quelques périodes au cours desquelles je n’ai pas fait d’activité physique régulière pendant un mois ou plus. Les raisons pour cela étaient multiples :

  • Blessures
  • Manque de motivation
  • D’autres blessures
  • Manque de temps (i.e. manque de motivation)
  • Blessures qui n’en étaient pas vraiment mais qui me donnaient une bonne excuse pour ne pas faire de sport

J’ai vécu l’une de ces périodes récemment. Après avoir repris l’activité physique régulière, je me suis posé la question suivante : existe-t-il une tendance, un « pattern » dans chaque période creuse?

Bien sûr que oui.

De plus, je suis persuadé que ces tendances s’appliquent également aux personnes qui ne font pas d’activité physique régulière ou à celles qui ont échoué dans leurs tentatives de l’intégrer à leur quotidien.

Mon objectif avec l’infographique qui suit n’est pas d’être moralisateur ou de m’improviser spécialiste de l’entraînement, mais plutôt de partager avec vous certaines difficultés que je vis moi-même en rapport avec l’activité physique, dans l’espoir que cela aidera ou inspirera certain(e)s d’entre vous dans vos démarches d’activité physique!

Note : En lisant, remplacez dans votre tête « activité physique » et « entraînement » par tout sport qui vous plaît : marche, tennis, yoga, Pilates, Zumba, gym, vélo, jogging, etc.

 

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L'illusion du débutant

 

La dure réalité

 

La lune de miel

 

L'Apocalypse

 

Espoir

 

Faux espoir

 

La phase fuckée

 

Le choix

 

Nirvana

 

Conclusion ou réflexions finales

 

Joindre la conversation

  1. EXCELLENT ! Ici, on comprend ça ; après quelques demi marathon, demi-ironman , marathon , ironman et entraînements interminables y’a rien à ajouter… je fais faire imprimer ça pour notre salle de torture 🙂

  2. Wow!! T’as écrit mon histoire!!! Pour la premiere fois en 4 ans j’ai atteint l’étape Apocalypse! Et je suis pas mal près la phase fuckée!! Ma raison est « maladie de ma fille » Toutes les raisons sont bonnes… Mais là c’est assez! Je pense que ton billet va m’aider a atteindre LE CHOIX!! MON choix a moi!! Go! J’y vais!… Ben tantôt là… Genre après-midi. Genre c’est pas le lundi qu’on recommence toujours? Ha ha bonnejournée et merci de ton inspiration, je vais l’afficher certain!!!

    • Allo Francine!

      MERCI infiniment, c’est ce genre de commentaire qui me motive à écrire ces articles!!!

      Une autre excuse qu’on se donne souvent est qu’on doit absolument continuer de pratiquer la même activité physique, celle qu’on a toujours fait par le passé. Or, c’est irréaliste. Les circonstances de la vie (comme la maladie d’un proche) peuvent faire en sorte qu’on doit changer de type d’activité. Sport à l’extérieur, dans son salon, au gym… ça n’a pas d’importance, en autant qu’on en fait!

      Merci encore et à bientôt!

      Olivier

  3. Il y a aussi la phase « je suis enceinte, je ne peux pas à cause du bébé », suivi de la phase « c’est à cause du bébé que j’ai pris du poids », deux phrases que j’entends souvent… Je suis enceinte de mon troisième bébé en trois ans, et ça ne m’a jamais empêché de prendre une marche (poussette double), faire du vélo (un bébé dans le siège porte-bagage et un dans une cherette derrière) et même du cardio-poussette jusqu’au jour de l’accouchement (au 2e)… et partie comme je suis là, je n’aurai qu’une dizaine de kilos à perdre pour rentrer dans mes jeans d’avant! Ne me dites pas que j’ai de la chance, j’ai travaillé pour!!!
    Comme tu dis, les excuses sont faciles à trouver, et le « pas de temps » revient souvent…
    C’est dur de décoller, mais on est tellement fiers de nous après!
    J’ai bien hâte de m’y remettre « pour vrai » après avoir accouchée, et je compte bien retrouver mon nirvana que j’ai eu il y a quelques années!

    • Allo Nicole!

      Je suis SUPER content d’avoir un commentaire comme le tien! Je n’ai pas encore d’enfants, mais il est évident que ça affecte énormément le temps et la motivation. Demeurer actif peu exiger que l’on remplace l’activité physique habituelle par d’autres formes d’exercice, comme celles que tu décris. Il faut quand même être réaliste!

      De plus, l’exercice à la maison sans équipement (ex. Pilates ou autre) demeure une option plutôt intéressante!

      Félicitations pour tous tes efforts et à bientôt!

      Olivier

    • J’aimerais que vous donniez plus de détails sur les possibilités de faire du vélo avec bébé, surtout aspect sécurité ? À partir de quel âge peut-on l’amener pour une balade ? Mes lectures m’ont toujours fait conclure qu’avant un an, c’était trop risqué (casque trop lourd, entre autre).

      Je ne fais aucune réelle activité physique, et j’ai perdu tout mon poids de grossesse (j’avais pris 50 livres). La motivation, c’est dans le mieux-être qu’on doit la trouver, pas nécessairement dans la perte de poids.

      • Je ne détiens pas la vérité absolue, mais voilà mon expérience personnelle.
        Certaines personnes mettent le siège d’auto dans une charrette double; ça fonctionne bien.
        Pour ma part, je n’avais qu’un charrette simple, et le siège d’auto ne rentrait pas. J’ai attendu que le bébé aie autour de 6 mois, ou que la tête tienne bien, et avec la charrette de MEC, on peut acheter un beigne pour retenir la tête du bébé. Je n’ai jamais trouvé de casque qui fonctionne en bas d’un an. Je vais surtout sur des pistes cyclables, je trouve ça moins dangereux que la route.
        L’idéal serait probablement d’attendre à un an, mais ça ne fonctionne pas toujours avec les saisons…
        Il y a peut-être quelqu’un qui a une réponse plus scientifique!
        J’espère que ça t’aura éclairé un peu!
        Nicole

  4. C’est triste, car je n’ai jamais vécu la phase 1. On ne se sent pas tous invincibles à la première séance. Pour plusieurs, la première fois c’est l’enfer. Quand tu marches 20 minutes que t’es essoufflé au bout, du fun, t’en as pas.

    Sauf que ça finit par passer. Là, t’as l’étape apocalypse directe, parce que comme ça fait 25 ans que t’es sédentaire professionnel, ton corps est pas fait fort. Tu passes par dessus les blessures, juste pour en avoir d’autres et tu finis un moment donné par voir la lumière au bout du tunnel.

    Deux ans plus tard, tu fais ton premier demi-marathon.

    • Allo Valérie!

      Je n’ai aucun doute de ce que tu décris. J’avoue que « l’illusion du débutant » en course à pied est probablement moindre, voire inexistante, pour plusieurs. Courir est à la fois l’un des activités les plus exigeantes et des plus « naturelles » pour le corps humain. Drôle de sport. J’ai fait énormément de jogging par le passé et je suis familier avec les blessures multiples… Vraiment pas évident! D’ailleurs, je vois d’après ton blog que tu n’es pas étrangère aux périostites douloureuses toi aussi!

      En tous cas, félicitations pour toutes tes belles réussites!!!

      Olivier

  5. Personnellement, j’ai toujours été petit, mince, et mangé peu, et je reste en bonne santé sans vraiment faire d’activité physique. C’est probablement une question de métabolisme et d’alimentation (pas parfaite, mais mes parents ont toujours fait attention à leur alimentation et la mienne, donc j’ai un peu hérité de ces habitudes là). Mais j’ai juste 22 ans et je me doute bien que ça restera pas toujours comme ça! (D’ailleurs, ça pourrait être intéressant d’avoir un billet sur l’alimentation ou le poids, et toutes les patentes qu’on explique en disant « c’t’à cause de son métabolisme »)

    Les seules fois ou j’ai vraiment fait de l’activité physique, c’était environ 1h de vélo par jour pour mes déplacements. Ça me tenait effectivement plus en forme, mais j’aurais beaucoup plus de difficulté à faire la même chose aujourd’hui, tout simplement parce que mes déplacements chaque jour se font pas en vélo, et qu’il faudrait que je prenne une heure de temps libre juste pour ça! La motivation, c’est beaucoup plus facile quand ton activité physique est aussi ton moyen de transport le plus simple et rapide.

    • Salut Oli!

      Bien d’accord avec toi!

      D’ailleurs, tranche de vie: j’ai eu la chance de côtoyer beaucoup de Danois au cours des dernières années et leur style de vie m’inspire énormément. Pour eux, se déplacer en vélo est naturel, ils n’ont même pas besoin d’y penser. La grande majorité des Danois font 1 à 2 heures de vélo par jour. Une fois, alors que j’étais à Copenhague, j’ai emprunté un vélo et j’ai tenté de les suivre. Ouch! Faire du vélo fait tellement partie de leur vie que même les petites grands-mamans à l’allure délicate me poussaient dans le derrière. Ce fût une leçon en humilité!!!

      merci pour ton commentaire et à bientôt!

      Olivier

  6. T’as oublié la phase « plus de sexe ». Car plus d’énergie et plus beau body = plus de sexe. LA motivation masculine par excellence. Bien que c’est probablement inclus dans la phase Nirvana. D’allieurs, est-ce que dans la phase Nirvana on sent le Teen Spirit à force de s’entraîner?

  7. 5 mots : Ceux qui saignent des seins. S’il n’y avait pas autant de gens compétitifs qui parlent fort et qui sont désagréables dans chaque discipline sportive, beaucoup plus de gens auraient envie de s’y mettre régulièrement mais sans se mettre de pression.

    • Je dois avouer ne pas comprendre ton expression de 5 mots!

      Il y a définitivement des gens désagréables dans le sport, mais il y en a aussi un peu partout… Ça vaut la peine de les ignorer et de focuser sur ses propres efforts!

      Merci pour ton commentaire Nancy!

      • Je parle des marathoniens fiers de saigner parce qu’il font un effort surhumain.

        Malheureusement, je faisais énormément de sport quand j’était plus jeune. Les sportifs bien équipés qui essaient constamment d’entrer en compétition avec ceux qui font du sport comme on joue à un jeu ont fini par me fatiguer (bien plus que le sport lui-même).

        Ils sont une véritable plaie. Ils regardent de haut votre équipement désuet, vos vêtements, vos méthodes, vos boissons, vos collations… J’ai tout arrêté à cause d’eux. C’est dommage parce qu’on est plusieurs dans le même cas. Beaucoup de mes amis seraient bien plus en forme si ces sportifs performants pouvaient se la fermer un peu.

        Pardonnez-moi, j’avais quelque chose sur le coeur je pense 😉

        Je ne sais pas si j’ai le droit d’afficher un lien mais ceci démontre bien ce que je veux dire. http://goo.gl/Q9z2SV

        • On peut aussi choisir de ne pas s,en préoccuper. Choisir d’arrêter un sport en raison du jugement ou de l’attitude des autres, c’est se mettre ses propres barrières. Je suis très bien placée pour en parler, je l’ai déjà fait. Au final, c’est soi-même qu’on punit.

        • Nancy,
          Je trouve votre commentaire un peu triste. S’il fallait arrêter de faire quelque chose dans la vie sous prétexte qu’il y a des cons et des vantards qui essaient de nous rabaisser nous ne ferions plus rien…

          Vous devriez faire du sport pour vous seule et non pour les autres (i.e cessez d’être affectée par l’attitude négative de certaines personnes). Moi aussi, les gens vantards ou les douchebags un peu trop intenses me tapent sur les nerfs, mais je n’arrête pas pour autant de courir et d’aller au gym puisque si je cesse à cause d’eux j’en serai le seul perdant.

          Dîtes-vous tout simplement que beaucoup de gens ont cette attitude désagréable pour combler leur propres manques (d’attention d’en certains cas) ou frustrations personnelles 😉

  8. Cette article me donne envie de « m’auto-donner » un coup de……… ben disons une tape sur l’épaule pour dire « envoye » t’es capable si tu commence par le début.

  9. Excellent 🙂 et très vrai ! Le tout est aussi de trouver ce qui nous plait vraiment ; il m’aura fallu quelques courses avant de me rendre compte que je n’aimais pas du tout courir, et que je courais pour « faire comme tout le monde » parce qu’il y a toujours ces copines qui font culpabiliser en publiant sur facebook leurs performances… ça peut rapidement détruire la joie que tu avais d’avoir fait un ridicule 3 km!!!!)

    • Allo Jenzinha! Tu as tout à fait raison; il faut choisir une activité physique en fonction de ses propres intérêts et de personne d’autre. Il y a plein de sports « à la mode » comme le Crossdfit, le Yoga, etc., mais ultimement celui qu’on pratique n’a pas d’importance en autant qu’il nous fait du bien.

  10. Après marathon, demi-marathons, courses de « trail » interminables et triathlon, ma motivation a eu des répercussions sur mon entourage. Un effet d’entraînement surprenant; mes amis sédentaires ont eu envie d’essayer eux aussi. Chaque fois, j’ai tenté d’aider et de soutenir avec enthousiasme les gens qui me le demandaient. Et je dois dire que chaque fois, c’est le manque de motivation qui est venu à bout de leurs efforts. Tant que je les appelais pour les forcer un peu à se bouger, ça allait, mais dès que je les laissais voler de leurs propres ailes, retour à la case départ. Personnellement, je crois qu’il y a deux types de personnes. Les proactifs et les victimes. Les proactifs savent que l’effort doit venir d’eux-mêmes, et que rien n’est jamais gagné. Les victimes trouveront toujours quelqu’un ou quelque chose à blâmer pour expliquer le fait qu’ils ne font pas d’efforts. On sait reconnaître son type à la phase « choix ». Mais fondamentalement, à moins d’un changement drastique de sa façon de penser, accompagné d’une introspection minutieuse, les proactifs demeurent proactifs, et les victimes continuent à se sentir persécutés. Malheureux, mais vrai. Bravo d’avoir si bien décortiqué l’expérience du mode de vie sportif!

    • Merci Mélanie! Le manque de motivation est un ennemi difficile à vaincre. Les cours de groupe (Zumba, yoga, Pilates, aérobie, spinning, etc.) existent précisément pour cette raison. Certaines personne n’arriveront jamais à se motiver suffisamment pour faire du sport par elles-mêmes; je trouve ça bien correct qu’elles se motivent via les autres. Peut-être pas idéal, mais si ça les fait bouger, tant mieux! Tous les moyens sont bons!

  11. WOW!! Hahaha, c’est tellement bon et c’est tellement vrai!! Mon mari et moi, on avait justement beaucoup de mal à maintenir notre motivation à cause des hauts et des bas de la vie. Mais c’est fini maintenant, on n’aura plus jamais honte de recommencer à la case départ! Pour moi, ton texte fait partie de ces choses dont on a vaguement l’intuition, mais qui changent tout dès qu’on les voit écrites noir sur blanc! MERCI!!

    • Haha, merci beaucoup Anne!!! Je suis vraiment content de voir que ça représente la réalité de beaucoup de personnes! Ça ne sert à rien de prétendre que faire du sport régulièrement est « facile » si ce n’est pas le cas pour soi. Il faut simplement trouver le moyen de rendre les montagnes russes le moins pénibles possible!

  12. Comme quoi l’activité ne rend pas juste en forme mais apporte aussi d’étonnantes surprises à notre vie: Lorsque j’ai décidé de me mettre à courir, j’ai à un moment donné joint un groupe de course, ce qui ma permis de rencontrer plein de gens super, j’y ai également rencontré l’amour ! D’ici quelques jours une petite fille va naître de notre union et cela grâce à la course à pied sans quoi nous ne serions peut-être jamais rencontrés. J’espère bien que ça me motivera à continuer pour le reste de mes jours.

    P.S Il est très possible pour une femme enceinte de courir ou faire n’importe quelle autre activité physique pendant toute sa grossesse, j’en ai été témoin 😉

    • Merci pour l’excellent témoignage Alain! Tu as bien raison, les bénéfices vont bien au-delà de la simple forme physique.

      Jerry Seinfeld disait: « We train harder so we can survive the next workout! ». Pour ma part, j’essaie d’éviter ce cliché!

  13. awwww j’adore ca transpire de veritee. En passant je te trouve adorable et j’aimerais bien faire un autre sport beaucoup plus invitant avec toi 😉 lol

    ma mere a le Mpoc due a des mauvais choix de vie… plus d’infos sur ce sujet avec ton « style » pour expliquer aiderit bcp. merci

  14. Merci Olivier pour cet article. Je suis présentement dans la phase du Nirvana mais je suis une adepte de ce cycle sans fin depuis plusieurs années 🙂 Pour le moment je fais tout ce qu’il faut pour que l’activité physique demeure un mode de vie, on se sent tellement bien mais je vais conserver tes illustrations pour me rappeler que les autres phases ne sont jamais bien loin 🙂 Heureusement, il ny a rien d’irreversible fiou! Mon sport c’est la course mais tu me donnes bien envie d’essayer le pilates, je suis certaine que ce serait complémentaire. Un gros merci et bonne journée 🙂

    • Allo Julie!

      MERCI pour pour ce super partage!!! Ça me fait tellement plaisir de voir que les gens se reconnaissent dans les phases!

      S’il y a une chose que je sais à propos de la phase du Nirvana, c’est ceci: il faut tout simplement l’apprécier, être fier de nos efforts et ne pas penser à ce qui s’en vient!

      Bon Nirvana et à bientôt!

      Olivier

  15. Bonjour,
    Je viens de découvrir votre site vraiment sympa, les articles sont sympa avec des belles illustrations.
    Je voulais vous rajouter à mes flux RSS, par contre vous n’en proposez pas.
    Cela serait sympa pour ceux qui n’ont pas tweeter, G+ ou Facebook de pouvoir vous suivre.

    @+

      • J’ai trouvé ce commentaire en faisant une recherche sur Google pour trouver l’adresse du flux RSS. Je l’ai ajouté à mon compte Feedly qui m’a informé que 800 personnes l’avait fait avant moi juste sur ce service. C’est plus commun qu’on ne le croit.

        Une p’tite icône orange dans un coin de page ce serait génial.

  16. Salut,

    Ok merci c’est ajouté,
    Il vrais que c’est de moins en moins populaire, pourtant c’est la solution la plus simple pour suivre un site sans passer par un tiers, elle reste très populaire chez les « geeck-libristes »….
    D’ailleurs je suis arrivé ici via un des mes flux.

    @+

  17. Mais sérieusement là Olivier, est-ce que c’est vraiment recommandé de faire quand même son entraînement quand on est malade? Je me questionne là parce que je me demande ce que ça peut exiger au corps. Et accessoirement parce que je suis enrhumée, je cherche mon souffle et ai des excès de sécrétions depuis 4 jours donc je n’ai pas bougé comme à l’habitude et me suis plutôt reposée. Cela dit, je refuse de m’en sentir coupable avec ça, avec carrière, implications sociales et monoparentalité en prime, y a des limites à être wonder woman!
    J’ai plus tendance à me dire que j’en fais peut-être peu, mais peu est mieux que rien (c’est comme avec la vaisselle sale ou le ménage).
    Bonne journée!

    • Allo Pascale!

      Bien sûr que non! Pour bien guérir d’un rhume ou autre infection, il faut avant tout prendre du repos.

      Par contre, il faut s’assurer que ce petit incident ne devienne pas une « Apocalypse »! Quand on va mieux, l’activité peut être recommencée lentement et normalement. Et la Lune de Miel reprend de plus belle…

      Merci pour la précision!

      Olivier

  18. Vraiment, tu as fait un voyage dans ma tête ou quoi. J’aurais tellement aimé être capable de verbaliser ce que je vie depuis que j’ai eu mes enfants. Avant je vivais le Nirvana en permanence, aucun mérite, le sport était une passion et je jugeais les autres et depuis je vie les étapes en boucle. Mais je s’obstine avec moi même et retournerais un jour au Nirvana

    • Allo Annick!

      Pas facile, hein? Si j’ai créé cet infographique, c’est dans le but d’inspirer et d’encourager les gens à reprendre l’activité physique (ou à commencer à en faire). J’ai eu moi aussi plusieurs périodes mortes où je en faisais pas de sport et, avec du recul, c’était souvent des périodes où je me sentais plus moche qu’à l’habitude: moins d’énergie, moins d’enthousiasme, moins de créativité. Mais dès qu’on est de retour dans la Lune de Miel… c’est reparti!

      Bon courage!!!

      Olivier

  19. Je découvre aujourd’hui ce blog et j’adore! Wow quel article! Sérieusement, à cause de mon taux de sucre sanguin trop élevé et de mon historique familial, je me suis botter le derrière il y a un peu plus d’un an de ça. J’ai vécu absolument toutes les phases en un an… disons juste que le nirvana a durée seulement deux petits mois. Ça fait vraiment du bien de lire un article comme ça… parce que je me dis souvent que je suis pas normale et que je devrais en faire plus. Ça confirme ce que je me disais… tout le monde a des downs suffit de savoir repartir! J’ai eu de super résultats… 15 lbs en moins, taux de sucre et pression revenue à la normale. Tout le monde est capable et tout le monde a le droit de se planter solide! Ça m’a aussi donner une bonne dose de rire cet article!

    • Allo Céline!

      Je suis vraiment content que tu te sois reconnue dans mon infographique! Comme tu dis, tout le monde vit des périodes creuses… même les athlètes Olympiques! Par exemple, Michael Phelps, le nageur multi-médaillé, a avoué en 2008 être en train de vivre une telle période (http://www.people.com/people/article/0,,20246477,00.html). Si des gens aussi motivés peuvent avoir une « phase fuckée », c’est la preuve qu’il ne faut pas se décourager!

      Merci pour ton commentaire et à bientôt!

      Olivier

  20. Brillant ! ¸

    Excellent travail d’introspection, super bien écrit. C’est clair et motivant! J’aime beaucoup ton site web, mais cette page m’a vraiment inspiré!

    Pour le plaisir de la discussion, j’ajouterais une chose, une autre phase : après le Nirvana, l’acceptation.

    La phase « Nirvana » comprend naturellement une excellente maîtrise de ton sport ou de ton activité physique (pour simplifier, je dirai « sport »). Tu as pratiqué ton sport comme une science, comme un art, puis tu maîtrises ses différents aspects avec fluidité.

    Les défis qui s’offrent à toi sont devenus immenses, et tu peux t’y lancer avec un calme profond. Certains diraient même avec une sérénité. La victoire et la défaite importent peu. C’est la pratique de ton sport qui te passionne.

    Pour moi, c’est ça le Nirvana.

    Puis, tu atteins ta grande limite physique. Toutes les ressources de ton corps sont bien cultivées et unies pour donner un rendement maximal, et il n’y a plus d’amélioration possible. Tu ne passeras plus jamais au « niveau suivant ». Ce que tu appelais jadis « dépasser tes limites » est maintenant un territoire hostile et aride que tu connais bien et que tu as cartographié mentalement. Tu entres dans cette zone pour décrocher des victoires, mais les possibilités de développement personnel que tu y trouvais sont épuisées. Il ne te reste qu’à vieillir. Il n’y a pas de panacée ; pas de fontaine de jouvence.

    Tu considères ton corps et tes conclusions ressemblent à ce qui suit. « Ceci est ce que je possède. Ceci est ce que je suis. J’en ai fait bon usage, et je vais continuer de le faire pendant que je le possède. »

    C’est l’acceptation.

    À partir de là, il n’y a plus de phases. Les excuses, « l’Apocalypse » et tout le reste sont insignifiants à cette étape, parce que tu vois carrément la vie à travers le prisme de ton sport. Il a transformé ta personne, et il fait partie de toi. Blessé, vieux, fatigué ou autre, ça ne change rien.

    Le bonheur, c’est de partager ton expérience. Tu peux encore relever des défis en étant créatif ou en t’entourant des bonnes personnes, ou bien tu peux laisser tomber et passer à autre chose, mais la question « est-ce que je fais de l’activité physique ou pas? » ne se pose plus.

    Bien sûr que tu en fais!

    P.S.: j’avais l’impression que ces deux étapes distinguables étaient réunies dans la phase 9.

    • OK Jean-François, après avoir écrit un truc aussi incroyable, tu n’as pas le choix de partager avec nous quel est le sport qui te fait autant tripper! Pour le bénéfice des lecteurs et le mien.

      Olivier

      • Allo! Mon sport, c’est la course à pied. Ce qui me fait vraiment tripper, la source mes idées, c’est quand je fais des voyages de sport et d’aventure. Merci pour ton compliment! Et j’espère que tu continueras à nous informer et nous divertir avec ton super blogue!

        • Je m’en doutais! Je ne fais plus de course depuis quelques années mais je suis à fond dans les voyages sportifs, alors je partage complètement tout ce que tu as partagé dans ton commentaire précédent!

          Merci encore pour le super témoignage Jean-François!

          Olivier

  21. Merci pour cet article tout en humour et tellement vrai! Moi, je fais beaucoup de sport dans ma tête sans jamais passer à l’acte… Je suis à la phase 8: le choix, sans avoir passé par les phases précédentes. Le chemin vers le divan est très large et bien dégagé. C’est le plus facile à prendre. Le chemin vers l’activité physique… je ne le vois pas… Il me parait bien loin…
    Ça me fait réfléchir!

  22. Issssshhhh… Moi l’illusion du débutant, je n’ai jamais vécu ça! Au début, le niveau de difficulté est toujours dans le tapis, pour au moins un ou deux mois! (Et euh… pour l’avoir vécu : Non, la douleur après l’exercice physique n’a RIEN à voir avec la douleur de l’accouchement… Just sayin’!)

    J’aime beaucoup que tu soulignes le fait que ça ne sert pas à grand-chose de compter le progrès en calories ou en livres perdues!

    Une suggestion en terminant : Tu parles des heures par semaine passées devant la télé dans tes remarques finales, mais je te suggère d’ajouter aussi le nombre d’heures passées devant l’ordi/le cell/la tablette à des fins de divertissement (et au repos, bien sûr)! Parce que moi, je passe environ 6 heures devant la télé par semaine, mais je passe environ 12 heures devant l’ordi à des fins de divertissement! Ça fait une méchante différence!

    Excellent billet! Merci! 🙂

    • Salut!

      Bien d’accord que les ordis/tablettes/téléphones comptent dans les heures télé!

      L’étape de l’Illusion du débutant peut ne pas se produire pour tous, mais il ne faut pas être déçu… C’est l’une des pires étapes à mon avis car elle crée de fausses attentes. Aussi, elle est extrêmement courte alors on ne peut pas vraiment l’apprécier.

      P.S. C’était vraiment juste une blague pour l’accouchement, une petite exagération disons!

      À bientôt!

      Olivier

  23. Les gens sont beaucoup trop habitué à obtenir sans rien faire et pense que l’entrainement c’est la même chose…

    Je n’est pas connu ces phases, je m’entraine 2 heures tout les jours, 6 jours semaine au gym et oui je suis fier de mon apparence physique, mais pour moi c’est le moment de la journée ou je me vide la tête de tout mes problèmes et pense à moi.

    C,est devenu une habitude, un mode de vie que je ne contrôle plus, car quand j’essais de prendre une pause de quelques jours pour que me corps reprennent le dessus. C’est les 3-4 jours les plus dures, j’ai juste le gout d’y retourner.

  24. Cet article me donne encore plus le goût de faire de l’activité physique, mais je ne peux pas en faire! Je suis blessée depuis maintenant un an et j’ai fait 6 mois de physio qui n’ont rien changé. Je suis quand même inscrite dans une équipe de soccer parce que j’adore ça, mais je ne peux pas faire d’effort à part ça!
    Bref, je vais passer mon tour pour aller au gym!

    J’adore tous tes articles en passant!

  25. Hey c’est ben amusant, mais je ne me suis jamais résolu à en faire, par dépit possiblement. Avoir travaillé manuel pendant des années et jamais pris une livre de muscle, ajoute à ça un mal de dos permanent et apparemment prédisposé selon les antécédents familiaux, ça ne donne pas du tout envie de lever son cul. Jamais je ne serais « beef » comme bien des québécois.

    En été, de grandes « run » de vélo aussi souvent que la météo le permet, une bonne moyenne compte tenu de ma lourde machine et de l’état lamentable des routes à Montréal, qui viennent avec l’effet secondaire d’une intense fatigue après coup qui m’empêche de me concentrer sur quoi que ce soit.

  26. Mon problème est qu’une fois que j’ai trouvé une motivation à faire du sport, c’est comme un iceberg en Californie : ça dure pas longtemps…

    Des trucs pour garder sa motivation?

  27. Salut! J’ai vraiment ri à «la tonne métrique de gélatine». C’est tellement vrai!!!! Je n’ai jamais compris ce phénomène de légèreté une journée, et cette impression de peser le double de son poids le lendemain. Souvent j’ai pensé que c’était lié à la nutrition, mais j’en doute fort. Quand je courais, les 5 premières minutes étaient pénibles car j’avais toujours l’impression que mes bras étaient des briques..

  28. Salut! J’ai bien aimé ta façon d’illustrer les différent stades à travers lesquels on passe en rapport avec la pratique d’une activité physique. Après ma phase de parent stressé par les défis qu’ont posés en même temps l’édification de de ma vie professionnelle et et la construction de mon patrimoine familial, je voulais me remettre au vélo/boulot, mais j’étais à 30km de mon lieu de travail et je voyais ça comme une montagne. J’ai commencé par faire l’aller une journée et le retour le lendemain, puis l’aller-retour le même jour de temps en temps et de fil en aiguille faire les 60km quotidiennement tant que la température le permet à longueur d’année. Cela fais 20 ans que ça dure. À 51 ans maintenant, je ne vois plus les épisodes de ralentissement d’activité que me procure l’hiver comme des périodes de déprime. Les sports de gym ne sont pas ma tasse de thé. C’est le plein air qui m’excite. J’ai évidemment un petit blues au mois d’octobre quand vient le temps de raccrocher le vélo. Je sais que l’hiver, même si je pratique un peu de ski de fond ou de raquette temps en temps et que je fais du badminton une fois par semaine, je vais prendre de 5 à 7 livres, mais je sais que la fièvre du printemps et le bonheur de rouler s’étirera tous l’été qui me les feront perdre à nouveau, que je me saoulerai de ces 5000km annuels pour me sentir terriblement bien, que je me sentirai à nouveau incroyablement vivant. Et soyons honnête, ça donne un petit répit à mes articulations qui on bien besoin de se réparer un peu.

  29. Bonjour,

    Mon commentaire est-un peu hors sujet. Il y a de cela 2 ans, j’ai lu cet article http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/medecine-combattre-obesite-fatiguer-peut-etre-possible-irisine-36072/

    L’information que j’ai retenu, c’est que le corps sans irisine dans le sang (je veux dire, sans = très petite quantité, et avec = grande quantité) perd une masse X pour un effort E et avec N*X pour le même effort E. (désolé pour l’équation).

    Dans l’article, l’irisine arrive dans le sang après 10 semaines. J’ai observé mon oncle qui faisait du sport d’endurance et selon ces dire, effectivement au bout de 10 semaines (environ) il a eu une perte énorme de poids (cela l’avait inquièter).
    Aussi, j’ai baser mon entrainement de l’été passé à aujourd’hui sur ce détail. Et j’ai finalement perdu 15 kilos en 5 mois (ce qui est bon, j’avais pas perdu de poids depuis 7 ans environ).

    Suivant ces détails, j’aimerais donné un conseil à ceux qui vont tenter de perdre du poids prochainement. Mais j’aimerais connaître votre avis, savoir si mon conseil est bon, ou si vous avez des doutes.

    Le conseil est assez simple. Commencez votre entrainement, si au bout de 2-3 semaines vous ne perdez pas de poids, mais vous n’en gagnez pas. Il n’y a pas de problème, continuer à vous entrainer et vérifier au bout de 10 semaines. Si après 10 semaines (environ) vous n’en perdez toujours pas, vérifier votre alimentation (peut être trop de gourmandise) ou peut être pas assez de sport.

    Voilà, j’aimerais avoir l’avis du pharmachien (olivier 😉 ). Merci.

    P.S. Mon entrainement se résume à un peu de cardio, un peu de musculation et évité la gourmandise!

  30. Alors là…. j’ai rit comme une folle jusqu’à ce que j’arrive à la phase 7 Fuckée là dés que j’ai lu la première caractéristique je me suis mise à pleurer et à rire instantanément ! Je suis dedans direct, après m’avoir entrainée 10h/semaine pendant un an et demi et perdu 100 lbs. Là, gros creu, la phase fuckée que je n’arrivais pas à identifier. Je me sens moins seule et moins pathétique tout d’un coup, c’est fou comme je me reconnais à travers chaque mot de chaque phase que tu décris, wow ! J’adore.

  31. Trés bon article!
    Qui décris parfaitement ce que la plupart des « sportifs » peuvent traverser, je dis la plupart car il arrive également souvent, que la pratique d’un sport ne sois qu’une longue courbe croissante, je prend mon exemple personnel, depuis que j’ai commencer le sport (il y a 3 ans), ma pratique n’en à été que plus jouissive.
    Ce qui est FONDAMENTAL et j’insiste dessus c’est de trouver son sport! Si la motivation essentiel est perdre du poids alors la motivation sera ponctuelle et de courte durée, éclatez vous dans ce que vous faites, senter la progression!

  32. Je suis totalement en accord avec ton article, j’ai moi même décidé de me prendre en main il y a 4 ans de cela, et je suis déjà passé deux fois par la phase appocalypse. Mais ma phase fucker à jamais été de longue duré.
    Entre l’age de 20ans et 30ans, j’ai pris environ 90 livres. À 30 ans exactement, j’ai pris la décision que je voulais vivre en santé et non mourir d’une crise de cœur à 35 ans. Donc je me suis mis au patin à roue aligné, voilà 4 ans de cela. Avec 4 enfants, une maison, un travail de 40h semaine, et toute la routine. Ce n’a pas été facile et il y a tellement de raison « valable » d’arrêter. Chaque phase fucker à été courte pour moi vus que j’avais toujours ma motivation : « La santé » donc je recommençais. J’ai perdu 40 livres depuis, je stagne un peu présentement, mais je crois que je n’ai jamais été aussi en forme de ma vie.
    J’espère encore atteindre le nirvana, mais je me surprend encore à regardé le vélo que je dépasse en étant fière de moi. Mon petit côté compétitif reprend toujours le dessus.

  33. J’adore cette BD (ainsi que ton site au complet!) et comme hier j’ai repris le gym après quelques années d’abandon je me sens totalement invincible puisque je n’ai pas fini ma soirée aux soins intensifs hier et que ça a été pas mal moins toffe que je le croyais… 🙂 Toutefois, je vais m’y référer au besoin quand je serai tombée de mon nuage et que ce sera l’apocalypse! C’est le fun de lire les réflexions de quelqu’un pour qui l’exercice physique n’était pas naturelle au départ. Disons qu’avec tous les gens qui se mettent à courir et les autres qui se lancent dans des Ironman, on se sent légèrement sans-coeur de faire le minimum… 🙁

  34. j’ai jamais dépassé la phase fuckée………….. Mon excuse c’est que j’ai une maladie psychiatrique et que j’ai donc d’autres problèmes… C’est une excuse monstrueusement bidon :'(

  35. J’ai vécu exactement cela… Une passion tardive pour le vélo interrompue brutalement par un accident de la route, deux mois d’arrêt de travail, puis un redémarrage probablement trop rapide occasionnant tendinites et bobos divers, suivi d’un re-arrêt du vélo, prise de poids, dépression. J’ai refait mon choix maintenant, en route vers le nirvana.
    En résumé je crois qu’il faut savoir rester modeste et chercher avant tout à se faire plaisir.

  36. Vraiment cool ! J’essaie souvent d’aider les gens à atteindre leurs buts liés à leur santé, mais je ne réussis pas toujours à comprendre qu’est-ce qui les empêche d’aller de l’avant. Comme j’ai toujours eu beaucoup de plaisir à m’entraîner, il n’y a pas beaucoup de différence pour moi entre swingner mon kettlebell ou me brosser les dents, à part el fait que je me fixe des objectifs pour mon entraînement (pour mes dents aussi, mais c’est plus compliqué à contrôler).

    J’ai encore l’impression que l’industrie du fitness est en partie responsable de ces phases, merveilleusement illustrées, mais d’une façon ou d’une autre, puisqu’on ne révolutionnera pas l’industrie aujourd’hui, vaut mieux les accepter et les gérer.

    Merci encore ! Je partage souvement tes articles et j’ai beaucoup de plaisir à te lire.

  37. Quel excellent article! Merci de nous passer les bons messages enrobés d’une bonne dose d’humour qui nous rappelle que, finalement, nous ne sommes pas seuls dans notre galère et que nous ne sommes pas, non plus, autre chose que de simples humains. Ça fait du bien et… ça donne un coup de pouce pour remettre la machine en marche!

  38. Je suis MOOOOOORTE DE RIRE !!!!!!!!!!! j’adore tout simplement c’est complètement vrai hahahahahahah merci pour ce moment de fou rire j’adore votre humour . Ca donne presque envie de faire du sport 🙂

  39. Je suis dans ma phase Lune de Miel. Maintenant j’ai peur de l’apocalypse 🙂

    Ça fait quelques années que je nage et je doit encore à l’occasion me botter le derrière.
    Mais à toutes les scéances j’en sort toujours avec un grande satisfaction. Je doit focuser sur cette satisfactions lorsque je dois me botter le derrière.

    Je le fait pour me sentir mieux dans ma peau et libérer du stress.
    Pour le poids je dois plus mettre l’accent sur la nourriture, surtout les portions.
    Faut jamais oublier que c’est ce qu’on mange qui aide notre poid pas le sport.

    Courage à tous ceux qui pense lâcher.

  40. Bonjour,
    Je laisse rarement de commentaires habituellement mais la qualité de ton site internet et la tonalité des échanges m’ont donné envie de franchir le pas !
    J’ai beaucoup apprécié cet article et je me suis retrouvée dans certaines des étapes que tu décris ! J’ai un problème spécifique, néanmoins, avec le sport : je n’arrive pas à trouver l’activité et le cadre qui me conviennent… J’ai une bonne dose d’auto-discipline, je sais me forcer et continuer même quand le plaisir n’est pas immédiatement au rendez-vous mais, même ainsi, je n’ai pas encore réussi à avoir le déclic. Du coup, il est difficile pour moi de m’engager pleinement et de continuer ! Heureusement, je mène une vie active (escaliers, marche, vélo tous les jours…) mais c’est un peu frustrant.
    Merci et bonne continuation !

  41. Mouahahaah j’en suis encore à la phase DÉBUTANTE..mais tassé vous de d’là! J’AAAAAARRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIVVVVVVVVVVVVVVVVVVEEEEEEEEEEEEEE pis je suis meilleure que vous autres!! Mouahahaah Je le sais bien que ce n’est qu’une illusion, mais tu m’as fait rire au maximum! C’est bien vrai qu’on se sent SUPER BIEN après un effort physique après une activité qu’on a aimé faire! J’ADORE mon initiation à la course. Dès que j’arrive à la phase suivante, je te la fais savoir pour que tu puisses en rire avec moi! 😉 BRAVO pour ton inforgraphie! Très imagée et tellement vrai! 🙂 RESPECT!

  42. Ha ha ha, la phase 1 est trop réelle ! Malheureusement la phase 2 aussi … Puis je sais pas, généralement je m’arrête là.
    J’ai d’énooormes périodes de glandouille en mode cul vissé dans le canapé avec de très courtes mais intenses périodes où je me prends d’une envie irrésistible d’aller me tuer à la tâche ! Même pas « faire du sport », juste « me débarrasser de toute mon énergie », j’y vais tellement à l’arrache que je ne passe généralement pas la phase 2, haha.
    Avec ma compagne on envisage de se remettre au sport (sans arrière pensée…) très bientôt, j’espère que cette décision mutuelle, le fait de ne pas se sentir seul dans l’effort, nous poussera jusqu’à la phase 9 🙂

    Sont très sympathiques, tes articles, c’est le dernier d’une longue série que j’ai lu aujourd’hui, bravo, c’est à la fois drôle, sincère et intéressant 🙂

  43. Salut Olivier, tes BD me font bien rire depuis que je les ai découvertes, pas mal toute la gang je dirais! J’étudie en enseignement de l’éducation physique et à la santé et je suis présentement en stage au secondaire. Cette BD est parfaite pour illustré vers où ils doivent passer pour découvrir le plaisir de bouger et je crois bien la présenter à ces ados trop souvent démotivé à bouger.. J’entame une séquence de cours en salle d’entraînement avec les sec. 3-4-5 et je me demandais si tu avais des BD qui parlent de suppléments nutritionnels tels que la créatine et tous ce que ces «shakes» peuvent contenir. Je suis assez à l’aise de leur parler du sujet, mais avoir un support plus ludique que mes Powerpoint, alors ça m’a fait penser à toi!
    Si tu n’en a pas, c’est une suggestion que je te fais, car les jeunes adolescents sont souvent mal informé, mal éduqué par rapport aux supplément nutritionnels et les vendeurs des boutiques de ces produits profitent de leur naïveté face à ces produit.

  44. Je ne peux pas être « contre » un article faisant la promotion du sport! MAIS! Ce type de prise de position m’agace un peu. Je m’explique. Il y a parfois des moments dans la vie qui ne sont pas propice à l’entraînement. Oui oui ça existe! J’en cite quelques unes à partir de mes expériences personnelles. Grossesse avec risque d’accouchement prématuré avec début du travail actif à 26 semaines. C’est long en ta jusqu’à 40! Et tout ce temps alitée, bonjour la prise de poids! Pour savoir qu’à mon 2e, j’ai un utérus hypercontractil… donc arrêté aussi au 2e. Re-bonjour la prise de poids bien que j’avais réussi à en perdre 75% après la première. Le temps passe un brin, cours de cardio poussette, cardio plein air… problème avec les kids. Les deux sont autistes (et++), le père ne s’adapte pas… divorce! Maintenant mère monoparentale, si je te dis que je n’écoute pas 5 minutes de télé par semaine me crois-tu? Quel temps j’ai pour m’entraîner? E-rien pantoute. Je reviens sur les sentiments suite à la lecture d’un billet comme le tiens: on se sent mauditement nulle. On est déjà en marge de la société pour plein d’affaire, et encore à ce sujet, on ne s’est jamais senti aussi seule et incompris. Reconnaître qu’il existe des situations difficiles dans la vie n’est pas d’excuser le manque total de motivation chez tout le monde. Ce que tu as ne m’enlève rien. Et ne me donne rien non plus.
    Parallèlement, je trouve très dommage qu’on ait tendance rendu à l’âge adulte d’oublier le plaisir dans le sport. S’entraîner en salle c’est loin d’être « le fun », le sentiment de plaisir dans tous ça? Il manque définitivement de choix quant aux sports d’équipes ou individuels qui pourraient tenir comme « entraînement ». Ex: je suis une ancienne patineuse compétitive. À part le patinage libre, je n’ai plus moyen de pratiquer mon sport maintenant adulte. Je me suis convertie au hockey, je suis mes garçons et je tente de m’impliquer avec le plus grand plaisir. MAIS voilà un nouvel obstacle: là discrimination sexuelle dans les sports! Une mère Entraineure au hockey mineur, vous en connaissez combien? Et c’est pas parce qu’on ne s’y connaît pas… extrêmement frustrant!

  45. Bonjours , j’essaie d’avoir un mode de vie plus sein ( bouger plus et réduire ma consommation de tabac pour arrêter ) que conseillé vous au fumeurs qui veulent pratiquer un sport ? Est il préférable de ne pas fumer 1h avant et 1h apres ?

    Merci

    • Salut Marie-Ève !

      Excellente question, dont j’ignore malheureusement la réponse. C’est certainement une bonne idée d’éviter de fumer avant une activité physique, car l’effort pulmonaire sera probablement limité. Mais pour une personne qui fume de manière régulière depuis des années, j’ignore si ça fait réellement une différence.

      Bravo pour tes efforts en tous cas !!! Cesser de fumer est à la fois une des choses les plus difficiles à faire, mais aussi un des gestes les plus importants qu’on peut poser pour sa santé. Peut-être même LE PLUS important.

      A+!

      Olivier

  46. Il serait très intéressant d’avoir votre opinion sur la glutathion ,car un de mes amis me parle de ça comme un petit miracle pour la santé ,mais je suis sceptique sur les bienfaits.Qu’en pensez-vous?

  47. Félicitations pour l’émission. Instructif et intéressant.

    J’aimerais voir traité un sujet: « Facture pour les médicaments – et particulièrement la franchise. »

    Sur le site de la RAMQ, la « Franchise » mensuelle est très bien définie. On doit la payer une fois par mois. Or, dans la réalité, la pharmacie fournit 30 « doses journalières » par visite, et le « programme de la RAMQ » impose le montant de la franchise applicable. Or, il semble que si un médicament est « servi » une deuxième fois dans le mâme mois, on paie encore la franchise, qu’on dit « franchise payée d’avance ». Naturellement, à raison de 365 ou 366 jours par année, ça arrive obligatoirement un moment donné. Mais, jamais une « franchise payée d’avance » n’est déduite pour le mois suivant. Ainsi, on paye treize (13) franchises mensuelles (peut-être même plus – dépendant de la date de renouvellement) au cours d’une même année – qui en compte 12, faut-il le rappeler – et personne ne semble reconnaître sa responsabilité dans cette « fraude », à moins qu’il ne s’agisse d’une « grossière erreur » ou « incompétence » liée aux personnes impliquées dans la conception du programme informatique concerné ou des données et des codes saisis…

    Puis, à la pharmacie, on nous renvoie à la RAMQ… Et à la RAMQ, on nous dit qu’il revient au pharmacien de corriger la situation. On devine que personne ne règle le problème. Ainsi, la « fraude » ou « l’erreur » se perpétue et quelqu’un empoche quelque chose quelque part, ça c’est certain et ce n’est certainement pas « professionnel ».

    Comme les personnes âgées forment la très grande majorité des clients de la RAMQ (pour l’assurance médicaments), réalisent-elles et comprennent-elles qu’elles se font abuser et voler par ce « stratagème » ? Il ne serait pas surprenant de constater que les « victimes » font confiance au « professionnel » avec qui elles interragissent directement. On leur dit de payer « tant » et elles s’exécutent. Elles ne comprennent peut-être pas le tiers des inscriptions qui sont sur leurs factures de pharmacie (montants pour médicamants – montant résiduel RAMQ – contribution à ce jour – franchise – etc.): et ce serait trop long de leur expliquer. Et peut-être que ce serait moins « payant » si elles savaient.

    Quelqu’un doit informer les gens et votre émission serait une belle occasion de nous éclairer sur cet aspect dont on ne parle jamais.

  48. Bonjour, je trouve votre sujet très intéressant!

    Pour ma part, je crois que plusieurs facteurs influencent les relâchements présentés dans ton infographie. Comme vous le dites, le travail, la famille, le « manque de temps » et le manque de motivation en font partie. J’ajouterais que le manque d’encadrement joue un rôle crucial. Souvent, si on ne sait pas trop quoi faire et qu’on essaie de s’entraîner à la maison, on n’obtient pas les résultats escomptés et on abdique rapidement.

    Pour s’assurer d’une assiduité constante, je crois que la solution pour Monsieur, Madame tout le monde, serait :

    – Entraînement à faire à la maison (pour pouvoir s’entraîner à n’importe quel moment);
    – Exercices rapides qui demandent moins de 20 min par jour;
    – Programmes précis et détaillés (Étape par étape avec des images et des vidéos explicatifs);
    – Le tout accompagné d’un guide de nutrition.

    Je sais ce que vous allez me dire que 30 min d’entraînement ne semble pas suffisant, mais c’est pourquoi je crois qu’il faut baser les exercices sur le phénomène de post combustion. Ce procédé fait en sorte qu’avec des séances intenses d’entre 9 à 30 min par jour, il est possible d’activer son métabolisme pour une période de 48-72 h à la suite de l’entraînement. Ainsi, vous continuez à brûler des graisses et des calories même au repos.

    J’ai moi-même un site Web qui propose une méthode d’entraînement rapide à faire à la maison. Je sais que le nom est un peu « catchy », mais il s’agit de Abdos en Accéléré. J’y présente 3 erreurs communes que les gens font lors de l’entraînement qui nuisent à leurs résultats plus qu’autre chose. Voici le lien pour consulter l’article si ça vous intéresse : [Abdos en Accéléré – 3 erreurs à éviter pour les gens de 35 ans et plus qui veulent perdre leur ventre]

    Si vous voulez essayer la méthode décrite ci-haut, j’offre un programme « démo » gratuitement ici

    Merci et bon entraînement!

  49. Bonjour Olivier,
    Merci pour tes supers chroniques! J’aimerais te faire une suggestion de BD ou d’émission car je vois que tu n’as pas abordé ce sujet jusqu’à maintenant: quelle est l’efficacité des suppléments de glucosamine/chondroïtine pour combattre les douleurs articulaires? Et le collagène? Ce sujet en intéresserait sûrement plusieurs car on aime beaucoup s’entraîner mais nos articulations foutent le camp en vieillissant et on ne sait plus à quel saint se vouer pour arrêter cette dégradation (par exemple, mon médecin de famille, malgré sa grande compétence, ne peut rien pour moi). Ce sujet m’intéresse aussi professionnellement car, en tant que médecin vétérinaire, j’ai regardé la littérature scientifique qui existe dans mon domaine (car oui, ces produits sont également prescrits aux chiens qui ne répondent pas bien aux AINS) et je n’ai trouvé aucune étude très convaincante. Une méta-analyse a été publiée en 2017 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5356289/) qui démontre en fait que nous manquons d’études de qualité pour affirmer ou infirmer l’hypothèse que ces produits sont efficaces chez les petits animaux. Qu’en est-il en médecine humaine? Merci à l’avance et continue ton excellent travail, autant au niveau des livres que des émissions!

    • Allô Sonia !

      Merci beaucoup pour ta suggestion ! Sujet qui m’intéresse énormément, en médecine humaine ET chez les animaux (car mon chien a de l’arthrose).

      Et je prévois effectivement une BD sur le sujet prochainement 🙂

      A+!

      Olivier

  50. Vous savez, moi, je suis devenue une aidante «surnaturelle» et j’ai tout laisser tomber car il arrive de se perdre dans ces moments-là, moi qui adorais la musculation, etc. Je suis récemment déménagée à Laval et essayez donc de marcher quand les trottoirs enneigés disparaissent en hiver! Il est 3 heures (du matin), et faut être désepérée pour être à l’ordinateur à ce moment-là. De plus, j’ai 66 ans, alors qui aura le goût de répondre à une maudite boomeurrrre? Bah, j’ai hâte de redevenir la personne active que je fus, mais comme je manque de trottoirs, de jus, de passion pour le gym et que je suis pas très sociable….Vous voyez le portrait… Merci pour vos conseils et votre humour.

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